La gravure comme loisir aristocratique ? A propos d’une planche inédite
Tout commence par une trouvaille de brocante : une plaque de cuivre gravée au burin à la fin du XVIIIe siècle, modeste portrait d’un sujet difficilement identifiable. La planche qui semble appartenir à une série (elle porte le numéro 3) est signée : « Le chevalier de Montjoux sculpsit. » De ce portrait, aucune […]